Comme prévu, la tempête Amélie a balayé l'ouest du pays dans la nuit de samedi à dimanche et dimanche matin avec des vents atteignant 110 km/h dans les terres et plus de 160 km/h sur le littoral aquitain.
Comme prévu, la tempête Amélie a balayé l'ouest du pays dans la nuit de samedi à dimanche et dimanche matin avec des vents atteignant 110 km/h dans les terres et plus de 160 km/h sur le littoral aquitain.
Dans la continuité de la fin octobre, pluies et douceur domineront au cours de la 1ère quinzaine de novembre avant le probable premier coup de froid de la saison mais dans une ambiance plus stable.
Après cette semaine marquée par de violentes intempéries dans le sud du pays, l'anticyclone est de retour depuis quelques heures et nous promet un beau week-end, en particulier samedi.
A l'instar des cyclones, les tornades résultent de l'enroulement de vents autour d'une zone de basses pressions. Elles s'en distinguent cependant par leur brièveté et par la violence des vents qu'elles génèrent.
Avec la présence d’un système dépressionnaire sur l’Europe de l’ouest, les conditions météo se dégradent fortement avec un risque d’intempéries pour les régions du sud-est au cours de cette semaine.
Alors que le pays restera sous influence océanique en première partie de semaine, les conditions s’amélioreront à partir de jeudi avec le retour d’un temps chaud et sec.
Après une fin septembre marquée par le retour des pluies dans la plupart des régions, la sécheresse continue malgré tout de faire parler d'elle à un niveau parfois record.
Après une fin de mois de septembre marquée par le retour des perturbations atlantiques et une baisse des températures, la situation devrait de nouveau changer en octobre avec le retour progressif de l’anticyclone.
Après la fraîcheur du début du mois, les températures ont retrouvé un niveau souvent estival. Si elles baissent en ce milieu de semaine au nord, la chaleur se maintient en revanche au sud avec des records à la clé.
Après un début septembre marqué par la poursuite de la sécheresse et des fortes chaleurs, également à l'origine de nombreux incendies, la situation change radicalement ce mardi avec des pluies orageuses parfois soutenues.
L'ouragan Dorian qui s'était nettement renforcé au cours du week-end, au point d'atteindre la catégorie 5/5, a dévasté le nord-ouest des Bahamas ce lundi et se dirige à présent vers la côte est des États-Unis.
Depuis quelques jours, les fortes chaleurs ont fait leur retour avec souvent plus de 30°C. Ainsi, il est désormais certain que cet été terminera à la 3ème place des étés les plus chauds en France.
Après une dernière décade d’août marquée par un temps chaud et ensoleillé, voici venir le mois de septembre où la chaleur n’a sans doute pas dit son dernier mot.
Après des mois de juin et de juillet chauds et ensoleillés, la moitié nord a connu un revers en première quinzaine d’août avec le retour des nuages et de la fraîcheur. Mais cette situation est-elle exceptionnelle ?
Après des mois de juin, juillet et août plus chauds que la normale, la situation va-t-elle changer avec l’arrivée de l’automne ? Réponse avec les dernières tendances à 3 mois.
Si les régions du sud et du sud-est profitent d’une météo estivale, l’ouest et le nord sont en revanche sous l’influence des nuages et de la pluie depuis une dizaine de jours mais la donne va bientôt changer.
Après les violents orages qui ont éclaté vendredi entre le sud-ouest et le nord-est du pays, une nouvelle dégradation traverse le pays ce dimanche. Elle s'accompagne de pluies parfois intenses et d'une activité électrique ponctuellement marquée.
Après une baisse temporaire des températures en début de semaine, les valeurs vont repartir à la hausse dès jeudi avec un nouveau pic de chaleur dans le sud et le centre-est où les maximales dépasseront parfois la barre des 35°C à l'ombre.
Après deux canicules exceptionnelles en juin et en juillet, les températures ont retrouvé depuis un niveau un peu plus normal pour la saison. Pour autant, le risque de canicule pourrait de nouveau faire parler de lui ces prochaines semaines.
Si chacun des quelque 50.000 orages qui éclatent chaque jour sur Terre dégage une énergie équivalente à celle d'une bombe atomique, les plus violents et dangereux sont de type « supercellulaire ». Explications.