Pour la troisième année consécutive, les gelées d’avril pourraient bien faire parler d’elles avec un risque de dégâts sur les cultures et la végétation. Les précipitations, également au rendez-vous, devraient continuer à faire reculer la sécheresse.
Articles de Guillaume Woznica
Le phénomène météorologique La Niña, qui a notamment intensifié la sécheresse et les inondations dans plusieurs régions du monde, est enfin terminé mais celui qui va suivre, à savoir El Niño, pourrait apporter d'autres problèmes.
La météo s’emballe en cette fin de semaine avec plusieurs pays du monde frappés par les intempéries, des États-Unis au Malawi, en passant par l’Argentine ou la Nouvelle-Calédonie.
Alors que l’inquiétude est de plus en plus forte concernant l’évolution de la sécheresse au printemps, voilà que la dernière mise à jour des tendances saisonnières propose un scénario totalement différent des précédents, avec une humidité très présente ces prochains mois…
Après le temps quasi-estival de lundi, la masse d’air change radicalement ce mardi. Les températures subissent ainsi une dégringolade, à tel point que l’ambiance pourrait redevenir hivernale. On fait le point sur l’évolution attendue.
Alors que le printemps météorologique a officiellement débuté le 1er mars, celui-ci peut parfois nous réserver des surprises. Il y a 10 ans, le nord du pays était ainsi paralysé par une tempête de neige exceptionnelle. Ces chutes de neige tardives peuvent-elles encore se produire ces prochaines semaines ?
Dans la lignée d’une semaine maussade, la journée de samedi verra le passage d’une énième perturbation pluvio-venteuse. Dimanche, en revanche, la situation s’améliorera avec le retour d’éclaircies dans la plupart des régions.
Outre les précipitations qui s’annoncent abondantes au cours des prochains jours, le vent sera également à surveiller. Avec des dépressions parfois vigoureuses, il soufflera fort et atteindra même localement le stade de la tempête.
Avec le retour d’un flux perturbé dynamique, les perturbations atlantiques vont enfin faire leur retour en France ! Elles vont s’accompagner de précipitations abondantes, sous forme de pluie ou de neige, parfois jusqu’en plaine.
Après les abondantes précipitations des derniers jours, l’île de beauté débute le mois de mars avec un enneigement plus abondant que dans le massif alpin ! Pendant ce temps, la situation devient compliquée dans les Vosges et le Jura.
Si le mois de février s’est terminé sous la pluie en Corse, le temps est resté toujours aussi sec ailleurs avec des records de faible pluviométrie battus. La sécheresse hivernale inquiète déjà, à tel point que des restrictions d’eau ont été déjà prises.
Après un mois de février exceptionnellement sec, la sécheresse inquiète déjà. C’est pourquoi mars sera déterminant pour nos nappes phréatiques. Selon les derniers scénarios, les pluies devraient faire leur retour la semaine prochaine.
Malgré les quelques petites pluies attendues en cette deuxième partie de semaine, le problème de la sécheresse hivernale est loin d’être réglé. Il pourrait même encore s’aggraver. Explications.
Après plus d’un mois avec quasiment aucune précipitation, les perturbations reviennent en ce milieu de semaine. Accompagnées d’une baisse des températures, elles pourront générer des chutes de neige. On fait le point sur les dernières prévisions.
Dans un contexte de sécheresse précoce et déjà inquiétante, le retour des précipitations est scruté de près. Un changement de flux pourrait ainsi se produire la semaine prochaine, avec à la clé peut-être de la neige !
Si le soleil qui brille généreusement ce mois-ci fait du bien au moral, l’absence de précipitations inquiète. Le spectre d’une sécheresse intense et durable est ainsi déjà d’actualité. On fait le point sur ces pluies qui se font de plus en plus attendre.
En cette période anticyclonique, il est parfois difficile de s’habiller en raison d’importants écarts de températures entre le matin et l’après-midi. Il fait aussi parfois plus doux en altitude que dans les vallées. Explications.
Ce jeudi marque le début d’une période de pollution aux particules fines dans de nombreuses régions. Et cette mauvaise qualité de l’air est bien partie pour perdurer plusieurs jours. Explications.
Le passage au mois de février s’est caractérisé par l’installation de conditions anticycloniques durables. Aucune véritable dégradation n’étant entrevue ces prochaines semaines, doit-on (déjà) s’en inquiéter ?
Alors que cet hiver est moins froid qu’initialement envisagé, à quoi doit-on s’attendre pour le printemps ? Le trimestre mars-avril-mai sera-t-il plus chaud que la normale ? Quid d’un nouveau risque de sécheresse ? On fait le point avec les dernières tendances saisonnières.