Les sondes spatiales qui surveillent le Soleil ont constaté une augmentation spectaculaire de la luminosité de la comète 3I/ATLAS à l'approche de son périhélie le 29 octobre 2025. Que se passe-t-il avec cette comète rare ?
Diplômé d'une licence en Physique de l'Université de Séville en 1977, Paco Martín a rejoint l'ancien INM, actuellement AEMET, où il a travaillé pendant plus de 36 ans, appartenant aux corps d'Observateur, assistant de météorologie et au Corps supérieur des météorologues de l'État. Francisco a occupé des postes de responsabilité au sein de l'AEMET dans domaines de prévision. De plus, il a formé le nouveau personnel et donné des cours de mise à jour et de recyclage aux prévisionnistes.
Il a été invité par des organisations internationales (OMM, EUMETSAT, certains services météorologiques nationaux de pays ibéro-américains, etc.) en tant qu'expert en matière de prévision, de nowcasting et de systèmes d'alerte précoce. Il a également participé à de nombreuses conférences et événements de diffusion dans les universités, masters et rencontres d'amateurs en Espagne. Il a aussi mené et coordonné des études sur les phénomènes météorologiques sévères au sein de l'AEMET.
Depuis plus d'une décennie au sein de Meteored, il se consacre à la diffusion de la météorologie et de ses sciences annexes avec la gestion de la RAM (Revue des Amateurs de Météorologie) dont il est Coordinateur.
Les sondes spatiales qui surveillent le Soleil ont constaté une augmentation spectaculaire de la luminosité de la comète 3I/ATLAS à l'approche de son périhélie le 29 octobre 2025. Que se passe-t-il avec cette comète rare ?
La hausse des températures mondiales pourrait rendre le Sahara beaucoup plus humide selon des chercheurs de l’UIC. Pourquoi cela pourrait-il se produire ?
Selon les experts de la NOAA, les conditions de La Niña sont présentes et devraient persister jusqu'en décembre 2025 - février 2026. Plus tard, au cours de l'année 2026, un événement El Niño pourrait se produire.
La comète interstellaire 3I/ATLAS ne provient pas de notre coin de la Voie lactée et pourrait être une capsule temporelle de la galaxie primitive, selon une nouvelle étude sur sa trajectoire.
Les chercheurs ont l’occasion unique d’étudier en détail la rare et mystérieuse comète 3I/ATLAS à mesure qu’elle s’approche de Mars, au début du mois d’octobre 2025, et plusieurs sondes ainsi que des télescopes spatiaux l’observent pendant que cela se produit.
Les scientifiques ont découvert une planète très chaude qui présente une activité aurorale très importante. Des observations détaillées ont été réalisées par le télescope spatial James Webb.
Les prévisions sont officiellement dépassées. Depuis le début septembre 2025, la comète interstellaire 3I/ATLAS a vu sa luminosité croître plus que prévu et pourrait bien poursuivre cette tendance.
En ces jours de fin août et début septembre 2025, un fait très rare se produit, car de la mi-août à la mi-octobre c’est la période de plus grande activité de la saison des ouragans de l’Atlantique et actuellement il n’y en a aucun dans le bassin, ni n’y en aura dans les prochains jours. Que se passe-t-il ?
Un rare système hydrothermal en eaux profondes a été découvert dans le Pacifique occidental qui produit des émissions massives d’hydrogène.
Les forêts d'Europe ont perdu leur capacité à absorber le carbone ces dernières années en raison de divers facteurs analysés et quantifiés dans une étude récente du CSIC, le Conseil supérieur de la recherche scientifique.
Il existe un fleuve dans le monde qui prend naissance et s’écoule dans deux directions opposées dès sa source, en raison de caractéristiques et de conditions particulières.
Le survol d’Uranus par la sonde Voyager 2 de la NASA en 1986 avait révélé que la planète était plus froide que prévu, remettant en question les théories sur la formation et l’évolution des planètes. Ces théories évoluent aujourd’hui grâce à de nouvelles données.
Au cours des deux derniers siècles, les humains ont accumulé suffisamment d'eau pour déplacer légèrement les pôles de la Terre par rapport à l'axe de rotation de la planète, selon des recherches récentes.
Un groupe de scientifiques de l’ESA a révélé, grâce à des données gravimétriques satellitaires, l’état de l’AMOC et ses possibles conséquences sur le climat futur de l’Europe.
Les nuages de la Terre diminuent rapidement, ce qui pourrait expliquer en partie les températures record de ces dernières années sur notre planète. Des tendances qui pourraient se poursuivre à l'avenir...
Au cours du dernier milliard d’années, la croûte continentale terrestre a produit suffisamment d’hydrogène gazeux pour couvrir les besoins énergétiques de l’humanité — et pourrait constituer une source naturelle et propre de cette ressource.
Une poche d’eau froide au sud du Groenland a résisté au réchauffement général de l’océan Atlantique, alimentant ainsi le débat scientifique.
Les nuages marins associés aux dépressions se déplacent vers les pôles, accentuant le déséquilibre énergétique de la planète et provoquant des effets marqués sur le temps et le climat.
Des indices géologiques et minéralogiques montrent que, dans un passé lointain, Mars abritait de grands volumes d’eau sous forme de rivières, de lacs et même d’océans. Pourquoi et où est donc passée une grande partie de cette eau martienne ?
Une étude récente montre ce qui pourrait être la plus ancienne représentation visuelle de la Voie lactée trouvée sur certains monuments pharaoniques de l'Égypte ancienne.